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Sport: Coupe du monde des clubs : A Harare en préparation, les corbeaux passent à une vitesse supérieure.

Posté par congoleo le 24 novembre 2009

le Tp Mazembe

Début effectif d’une serieuse préparation des corbeaux en terre zimbabwéenne. Aussitôt arrivée hier dans la soirée, joueurs ainsi que tous les membres de la délégation conduite par Jean Ngoy Sendwe, sécretaire du team, ont passé de bon moment à admirer le tout jeune fêtant la Saint Nicholas à l’anglaise. Moment de decontraction pour les ambassadeurs du continent africain à la coupe du monde des clubs de la FIFA aux Emirats Arabe Unis.

Déjà la matinée de ce jour, une séance d’entrainement physico-tactique a été au rendez-vous. Pendant plus d’une heure, Diego Garzitto et tout son staff ont coordonné cette première séance de travail à Harare.

L’après midi ce même samedi, les coéquipiers de Trésor Mputu se sont rendus au Ruffaro Stadium d’Harare pour assister à un match de football du championnat Zimbabwéen.

La coupe du monde des clubs de la FIFA approche, les corbeaux du TP Mazembe poursuivent avec la préparation à Harare.

Retranchés dans la capitale Zimbabwéenne pour 10 jours de travail avant d’atteindre Abou Dhabi aux Emirats Arabe Unis en fin de ce mois.

Les corbeaux sont passés à une vitesse supérieure depuis le Dimanche 22 Novembre dernier, des exercices technico-tactiques avec comme objectif le reveil des qualités offensives et défensives des athlètes au lendemain des 13 jours de repos.

Parti en sélection nationale, le zambien Given Singuluma rejoint le groupe l’après midi de ce lundi. Signalons par ailleurs que l’attaquant zambien du TP Mazembe a aussi bénéficié d’un repos qu’il a passé à Lusaka, capitale de son pays, pendant 8 jours.

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Lubumbashi: lorsque le “texto” fait disparaitre l’orthographe…

Posté par congoleo le 24 novembre 2009

A Lubumbashi, les jeunes perdent petit à petit leurs notions, déjà moindres, d’orthographe et de la grammaire Française, a force de beaucoup plus utiliser et en envoyer des « texto ». Ils coupent court des mots, font symbiose de lettres et chiffres pour en donner un sens. 

 

« jtm pr tt ntr vi. Gv etr fi2l pr tjr », pour dire : « je t’aime pour toute notre vie. Je vais etre fidele pour toujours », « 10 moi si tu v1dra 2m1, pcq g s8 dispo pr l8 voir», pour dire : « dis-moi si tu viendras demain, parce que je suis disponible pour lui voir » 

 

L’écriture «texto » qui permet de gagner un peu plus d’espace lorsqu’on envoie les SMS, est devenue très courante chez les étudiants comme aux élèves. L’espace du menu message du téléphone portable réduit au minimum le nombre de signes et chacun condense les mots de sa manière. La fréquence de ce style d’écriture fait que les usagers perdent l’habitude d’écrire normalement. 

 

« Je me sent à l’aise quand je fais un texto à mes pots. Il est court et rapide, parce qu’écrit sans tenir compte de l’orthographe », confie Lisette MASANGU, élève de la cinquième année secondaire. Consciente que son Français disparait petit à petit, Lisette se fait toujours accompagner d’un dictionnaire lorsqu’elle doit faire une correspondance normale sur papier. « J’ai du mal à écrire pleinement un mot quand on me demande de faire une lettre une dissertation à l’école », révèle-t-elle. 

 

Un sort partagé, les étudiants à la quête de l’emploi en souffre. Certains font écrire ailleurs les lettres de demande. « C’est un grand exercice pour moi de rédiger la lettre de demande sans faute. L’orthographe de certains mots m’échappe », déclare Willy, étudiant en troisième année graduat à la faculté d’agronomie de l’université de Lubumbashi. « Je garde jalousement le model de cette lettre écrite par un grand ami pour éviter d’être disqualifier à partir de la lettre de demande », complète-t-il. 

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Rendre la lecture pérenne dans le milieu juvénile ;nouvel engagement pour l’Alliance Franco-Congolaise de Lubumbashi.

Posté par congoleo le 2 novembre 2009

conférence-débat

«Le livre de la jeunesse et la lecture des jeunes», c’est le thème que porte la série des conférences-débats qu’organise l’Alliance Franco-Congolaise le Lubumbashi en faveur des élèves des écoles secondaires partenaires. Ce la dans le but de sauver la culture de la lecture dans les milieux qui connait un naufrage aussi considérable. 

 

« … la lecture est pour l’esprit ce que la nourriture est pour le corps», déclare le Professeur BATUNZI, conférencier, qui présente l’état de lieu de la lecture et exhorte les jeunes à la préparation de leur avenir par une lecture saine et sérieuse. Que devoir lire ? Comment et Pourquoi lire ?, telles sont les questions principales sur lesquelles tournent les débats. 

 

Les participants sélectionnés dans quelques écoles de la ville ont trouvé satisfaction aux questions qui les préoccupaient. « C’est l’une des rares initiatives et actions à encourager  qui visent voir les jeunes s’épanouirent au travers la lecture », fait savoir Kongolo, élève à l’institut d’Application Pédagogique (IDAP) de Lubumbashi qui renchérit que « l’information crée la formation et on ne peut être formé que si on a lu ». 

 

Les facteurs qui freinent la lecture, tels qu’énumérés par le Professeur BATUNZI, sont le manque de temps de lecture pour les élèves, la précarité de la situation socio-économique des parents, ce qui pousse parfois à trop lutter pour arriver à relever le défi. C’est ainsi que dans le cadre de son partenariat avec les écoles secondaires, l’Alliance Franco-Congolaise de Lubumbashi offre un cadre préférentiel pour la lecture à tous les jeunes. 

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Lubumbashi : le sang, une nécessité saillante pour la ville.

Posté par congoleo le 2 novembre 2009

message de don de sangPour  pouvoir sauver la vie des malades et des accidentés, la banque de sans de Lubumbashi recherche de nouveau dormeurs bénévoles qui remplissent les normes d’une bonne moralité. Une invitation qui passe sans peine auprès des habitants. 

« Donner du sang, c’est donner la vie à une femme qui meurt pendant l’accouchement » «  c’es sauver la vie des accidentés, »… Tel est le message qu’on peut lire sur quelques affiches à Lubumbashi, pour encourager les dons de sang. Suite à une diminution sensible remarquée des poches de sang dans la banque, des séances de sensibilisation en faveur du don de sang initiées par la croix rouge avec l’appui du PNMLS/Katanga. 

«  La banque de sang de Lubumbashi n’a actuellement que  deux poches. Pendant que le besoin pour la ville est de 400 et plus par moi », révèle Mr Dominique MALANGO, expert au centre provincial de transfusion sanguine. Les  causes de cette carence en sang telles que épinglées par Mr Donatien MISHONYI MWANA, secrétaire adjoint de la croix rouge / ville, sont tout d’abord l’observation stricte des normes et conditions avant le prélèvement. 

« … les donneurs de sang ne doivent être cherchés ailleurs. Ils ne doivent être cherchés que là où les bons principes de moralité sont observés, c’est-à-dire où l’état sérologique est normal » déclare-t-il. En suite, c’est le but lucratif qui pré-anime certains donneurs. Ces derniers exigent quelques sous avant de livrer le sang. 

Docteur Victor KABWE, donneur, pense que si tout le monde comprenait qu’en donnant volontairement du sang, on ne se fait pas du mal, mais plutôt on sauve des vies, c’est alors que le défi sera relevé. 

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